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TAGTIK NEWS - TO THE POINT

The scientific community is enthusiastic with the potential of a 17-year-old

byMelissa Hekkers
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17 Aug 2025 17h45
woman in black framed eyeglasses holding pen
© Unsplash

Hannah Cairo, a 17-year-old girl, is about to become a real world star in mathematics.

Originally from Nassau, Bahamas, Hannah Cairo was homeschooled and early on demonstrated an exceptional aptitude for self-taught mathematics. By age 11, she had already mastered calculus and advanced university courses, and at age 14, she published her first paper on number theory.

In August, she refuted the Mizohata-Takeuchi conjecture, a problem that had remained unresolved for 40 years in the field of harmonic analysis. Hannah Cairo successfully found a counterexample that refuted this hypothesis, demonstrating that certain functions could not be represented in the manner postulated by the conjecture, thus challenging a deeply held belief in the scientific community.

Her discovery was greeted with astonishment and admiration by mathematicians around the world, opening new avenues of research in this field.

Although she doesn't have a traditional high school or college degree, Hannah is about to begin a PhD in mathematics at the University of Maryland and leads initiatives to promote mathematical talent in young people.

(MH with MaSi - Source : Globo 1 - Photo : ©Unsplash)

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Elle a vu le jour en 1986 das le quartier londonien de Camberwell et certains décèlent en elle comme une petite cousine éloignée de Kate Bush   Il serait malvenu de croire que le succès efface complètement les aléas de la vie. Tout au plus les estompe-t-il. Dans une répertoire souvent épique voire grandiloquent, la chanteuse anglaise dévoile par bribes une vie aussi cabossée que celle de la plupart d’entre-nous. C’est d’ailleurs en partie ce qui la rend touchante. Avec son quatrième album High As Hope en 2018, cette boule d’anxiété (comme elle se décrit parfois elle-même) n’hésite plus à disséquer ses propres angoisses, à se pencher sur l’avenir de notre planète et même à s’interroger sur son propre vieillissement. ,   L’année dernière à la sortie de Dance Fever, Florence déclarait au magazine Rolling Stone : Ma façon de donner un sens au monde, c’est de le transformer en mythe et en fable. Transformer les gens et les choses en personnages… C’est comme ça que je traite tout. Elle est bien évidemment consciente que l’image fantasmée que son public perçoit d’elle-même est, dans le même ordre d’idée, for éloignée de se propre réalité quotidienne. En effet, quad on la voit virevolter sur scène,  on imagine mal qu’elle se considère comme agoraphobe. Autrefois diagnostiquée comme dyslexique, l’auteure anglaise a toujours conservé et entretenu une passion pour les mots, les mythes et la littérature. Peu encline à la facilité, elle n’aime rien moins que d’élever le propos. Ainsi son dernier album Dance Fever ne fait nullement référence ni aux Bee Gees, ni à une quelconque fièvre du samedi soir. Que du contraire, même s’il ne s’agit pas du seul fil conducteur, l’album fait référence à une mystérieuse épidémie de danse au Moyen-Age (qu’on a aussi appelée la peste dansante). En 1374, dans plusieurs dizaines de cités médiévales réparties le ont du Rhin, des centaines de personnes ont été prises de convulsions dansantes irrépressibles ne s’arrêtant même pas pour boire ou manger. Aucune explication scientifique sérieuse n’a jamais permis de comprendre ce phénomène qui s’est reproduit à d’autres endroits en Europe. Sinon qu’il s’agissait sans aucun doute d’u exutoire aux angoisses du temps. Cela tombe bien car Florence voit justement la danse comme un rituel  libérateur…  Stéphane Soupart - Photo : Etienne Tordoir) Photo : Florence Welch de Florence + The Machine au Festival TW Classic à Werchter (Belgique) le 25 juin 2022
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